L'École des maris » Acte 3 » ACTE III, SCÈNE PREMIÈRE
ISABELLE Oui le trépas cent fois, me semble moins à craindre,Que cet hymen* fatal où l'on veut me contraindre; 805 Et tout ce que je fais pour en fuir les rigueurs,Doit trouver quelque grâce auprès de mes censeurs;Le temps presse, il fait nuit, allons sans crainte aucune,À la foi d'un amant, commettre ma fortune.
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